mardi 3 septembre 2013

Tous les salutations vons envères les agents de PEACE CORPS BENIN

Agnès Lomo   PCMO
Aline Cbaguidi Lab.Tech.
Anne Martin  Administrator
Arimi Marotana Driver
Audrey Aniambossou  Receptionist SRPTC
Clarisse Alapini-Mensah  Executive Assistant
Colleen Sayi  Financial Assistant
Elise Kinvi-Alihonou  Admin.Assistant
Eugène Tigo  Messenger
FlorentHonvo-Bello   Training Manager
Francoise Lema Sayi  PCV Liaison
Gaston Gbondjinon   Driver
Hervé Amoussou-Guenou  GSA
Jacque Bio  APCD/SED
Jerôme Adiagba  Lab.Tech.
Jules Adjimon  Driver 
Lucienne Assogba Janitor
Maria Soumonni  APCD/TEFL
Marie-José Dobossou Cashier
Sheryl Cowan  Country Director
Marthe Kpakpo  Training Secretary
Mathieu Djissa  Driver
Matina Deen IT Specialist
Noel Adjibogoun  S et S Coordinator
Pascal Cadja  GSO
Salomon Matchoudo  PA/RCH et EA
Rufin Kpadonou  PCMO
Tina Blassou  Medical Secretary
Valentin Abatcha  Driver 
Yves Toudonou  Training Logistician 

Saka et Marius


Elles demeurent des perles rares...Ses dames au cœurs d'or

Toujours une sincérités dans les yeux pour leurs travaille...

Tous ceux qui pouvaient partager  ceux moment unique avec l'ambassadrice étaient présents...

La joie d’être entres corlègues

Des amis de longue dates...

Si seulement on pouvais dis la date exacte de cette photo...June 1989

Plusieurs distinction ont été faire le jour là...


Assogba Lucienne Janitor  Priez pour elle...
     

 Rest In Peace Catherine Puzey
1984!!2009
Biographie de Catherine Puzey
19juin 1984:12Mars 2009 

 
 Kate Pusezey est née le 19 juin 1984,en Allemagne ou elle a vécu toute sa tendre enfance,son père a ensuite été muté au Japon,ou Kate a vécu jusqu'à son inscription au collège William et Mary,en virginie.Après avoir fait trois ans d'études complémentaires en gestion des entreprises.Elle a ensuite suivi ses parents pour la Geogie,son domicile,aux États unis,et fit du volontariat dans l'international Rescue Commitee...IRC...,jusqu'à son départ pour le Bénin en Juillet2007...
Volontaire du programme Éducation à Badjoudé,Kate s'intégra parfaitement à son milieu.Son amour pour l'enseignement et pour les enfants est allé bien au delà des attentes normales.Elle a travaillé de façon permanente avec ses collègues sur le renforcement des capacités et l'échange d’idées.Elle a fait compagne pour l'alphabétisation des enfants et des adultes,en travaillant étroitement  avec le CLAC...Centre de lecture et d'animation culturelle...à plusieurs reprises.Kate a aussi  abordé les questions relatives aux femmes et ' plaidé pour les droits des femmes avec divers membres de la communauté en organisant récemment;dans la commune de Ouké,une célébration de la journée international  des femmes le 8 mars 2009.Elle a souvent collaboré avec sa meilleure amie qui est aussi sage femme pour éduquer  les jeunes filles sur la santé de la reproduction.En  Mai 2008,Kate et sa collègue volontaire ont organisés un camp GLOW...Girls leading our world...les filles guides le monde...Pour les élèves filles sélectionnées dans les communautés de Badjoudé et Ouaké.Elle étais  également la pièce maitresse de l'organisation du camp Glow 2009 prévue pendant  les grandes vacances scolaire de juillet,aout 2009 dans le département de la Donga.En outre,elle a participé activement à l'organisation de la journée de l'enfant Africain,une activité qui a connu la présence de sa mère venus lui rendre visite au Bénin en juin 2008.Elle aussi à travaillé an tant que formatrice des nouveaux volontaires du Corps de la Paix de juillet à septembre 2008.
Kate étais un membre à part entière de sa communauté,parlant la langue local,Lokpa toujours cherchant à développer les liens d'amitié avec les femmes de sa communauté et ses collègues...
Connaitre Kate étais comme être touché par le plus pur des esprits.Tous ceux qui ont pu entrer en contact avec elle ont été touché par sa générosité,sa bonté et sa façon de toujours maintenir une attitude positive,des idéaux reflété par ses amis,ses collègues et sa famille qui continueront de les perpétuer...  

John Fitzgerald Kennedy et Biographie...

Fonctions
35e président des États-Unis
20 janvier 196122 novembre 1963
(2 ans, 10 mois et 2 jours)
Élection 8 novembre 1960
Vice-président Lyndon B. Johnson
Prédécesseur Dwight D. Eisenhower
Successeur Lyndon B. Johnson
Sénateur du Massachusetts
3 janvier 195322 décembre 1960
Prédécesseur Henry Cabot Lodge, Jr.
Successeur Benjamin A. Smith II
Représentant du 11e district du Massachusetts
3 janvier 19473 janvier 1953
Prédécesseur James Michael Curley
Successeur Tip O'Neill
Biographie
Nom de naissance John Fitzgerald Kennedy
Date de naissance 29 mai 1917
Lieu de naissance Brookline (Massachusetts, États-Unis)
Date de décès 22 novembre 1963 (à 46 ans)
Lieu de décès Dallas (Texas, États-Unis)
Nature du décès Assassinat
Nationalité Drapeau des États-Unis Américaine
Parti politique Parti démocrate
Conjoint Jacqueline Kennedy
Diplômé de Université Harvard
Religion Catholicisme romain

Signature

John Fitzgerald Kennedy
Présidents des États-Unis
 
John Fitzgerald Kennedy, surnommé « Jack », est né le 29 mai 1917 à Brookline (Massachusetts) une banlieue huppée de Boston. Il est le second d'une famille qui compte neuf enfants: Joseph Jr., John F., Rosemary, Kathleen, Eunice, Patricia, Robert, Jean Ann et Edward.
Ses parents, Joseph Patrick Kennedy, qui a fait fortune dans les années 1930 et Rose Fitzgerald ; fille de John Francis Fitzgerald (1863–1950), dit « Honey Fitz », maire de Boston et de Mary Josephine Hannon (1865-1964)2, sont les descendants de familles originaires d'Irlande. Son père soutient Franklin Delano Roosevelt lors de l'élection de 1933, envisage de se présenter à sa succession et devient ambassadeur des États-Unis au Royaume-Uni en 1938.
Le jeune Kennedy reçoit une éducation dans l'une des meilleures écoles privées à Wallingford, Connecticut où son frère aîné Joseph Patrick Kennedy Jr. l'a précédé. En septembre 1935, il intègre la London School of Economics sous la supervision du professeur Laski, mais doit interrompre ses études, car il est atteint de jaunisse. Il intègre ensuite l'université de Princeton mais doit de nouveau interrompre ses études après seulement six semaines, et se fait hospitaliser à l'hôpital Brigham de Boston. L'année suivante, en septembre 1936, il intègre Harvard. Ses principales matières sont l'économie, l'histoire et la politique américaine.
Quand son père s'installe à Londres, il visite l'Europe, en particulier l'Allemagne nazie, et profite d'un « nègre »3 pour rédiger son mémoire de fin d'études sur Neville Chamberlain et la participation britannique aux accords de Munich. Son mémoire est reçu avec mention et grâce au soutien financier de son père, est publié avec une introduction de Henry Luce, sous le titre Pourquoi l'Angleterre dormait. À 23 ans, Kennedy est ainsi l'auteur d'un relatif succès de librairie qui semble le destiner au journalisme. Son père est alors déconsidéré par sa position favorable à la négociation avec Hitler. Ce livre permet à son fils de paraitre comme favorable à l'entrée en guerre des USA.
Il doit, en 1941, sous la pression de son père et du FBI, mettre fin à sa liaison avec Inga Arvad, une journaliste danoise mariée à Paul Fejos, ancienne miss Danemark qui a couvert les jeux olympiques de Berlin en 1936 et proche des dignitaires nazis tel qu'Hermann Goering, ce qu'a démontré de manière irréfutable le FBI4. JFK est rappelé sur le continent en Caroline du sud mais Inga le suit et ils continuent à se voir5.

Service militaire et période après-guerre

Au printemps 1941, Kennedy veut s'enrôler dans l'armée, mais est déclaré inapte en raison de ses problèmes de dos : né avec une colonne vertébrale instable, ce qui l'obligera toute sa vie à utiliser des béquilles cachées au public, à se reposer fréquemment dans son rocking-chair devenu légendaire6 et à porter un corset dorsal de 20 centimètres7. Il est de plus atteint de la maladie d'Addison, une sorte de déficience (encore mortelle à son époque) des glandes surrénales, lesquelles produisent des hormones anti-douleurs osseuses. Pour soulager ses douleurs, il reçoit régulièrement des injections de cortisone, de novocaïnes et de stéroïdes, prend des amphétamines7, ce cocktail médicamenteux lui permettant de déployer une énergie hors du commun et d'assouvir une libido hyperactive8. D'abord mobilisé à l'arrière, il obtient de servir sur plusieurs navires de la flotte américaine du Pacifique et devient commandant d'un patrouilleur avec le grade de lieutenant de vaisseau.
Le 2 août 1943 à deux heures du matin, son patrouilleur (une vedette lance-torpilles), le PT 109, est coupé en deux par le destroyer japonais Amagiri au large des îles Salomon. Kennedy est projeté sur le pont et se blesse au dos, ce qui aggrave ses douleurs ; en mer, il réussit malgré tout à haler un membre de son équipage blessé sur près de cinq kilomètres et à mettre pied sur une île, d'où il nage pour donner l'alerte : son équipage est récupéré. Ce fait d'armes lui vaut la médaille de la Marine avec la citation suivante :
« Le lieutenant de vaisseau Kennedy, au cours de l'attaque d'un destroyer japonais, a vu son navire éperonné et coulé. Il a dirigé le sauvetage de son équipage et a personnellement sauvé trois hommes, dont l'un était sérieusement blessé. Au cours des six jours qui ont suivi, il a pu ramener son équipage à terre. Son courage, sa ténacité et ses qualités de chef ont permis de sauver plusieurs vies, maintenant ainsi les traditions de la Marine des États-Unis. »
Kennedy reçoit d'autres décorations pendant la guerre, dont la Purple Heart. Il est démobilisé au début de 1945 quelques mois avant la capitulation du Japon. Un film de propagande raconte son aventure. Le décès de son frère aîné et les erreurs politiques de son père (qui était favorable au maintien de la paix avec Hitler) font de lui l'espoir politique de la famille.
Il est contraint de se faire opérer à plusieurs reprises en raison de problèmes de dos et reçoit même l'extrême onction à trois reprises. Pendant cette période, il publie un livre Profiles in Courage (Portraits d'hommes courageux) où il fait la biographie de huit sénateurs qui ont risqué leur carrière pour défendre leurs points de vue. Ce livre, dont la paternité est aujourd'hui accordée à Ted Sorensen, bras droit de Kennedy et auteur de ses plus grands discours, recevra le prix Pulitzer en 19577

Carrière politique

Portrait officiel de John F. Kennedy par Aaron Shikler.
Après la Seconde Guerre mondiale, Kennedy débute donc une carrière politique en se faisant élire à la Chambre des représentants dans une circonscription à majorité démocrate. Il est réélu deux fois malgré ses positions qui ne sont pas toujours en accord avec celles du président Harry S. Truman ou du Parti démocrate.
En 1952, il est candidat au siège de sénateur avec le slogan : « Kennedy en fera plus pour le Massachusetts ». Il réussit à battre son concurrent républicain, le sénateur sortant Henry Cabot Lodge Jr. Cependant, il ne s'oppose pas au sénateur Joseph McCarthy, un ami de la famille, qui mène une campagne agressive dans le but d'extirper les prétendus espions communistes au sein du gouvernement. Il profite d'un séjour à l'hôpital pour ne pas voter la motion de censure contre McCarthy en 1954, ce qui lui sera longtemps reproché par l'aile gauche du Parti démocrate, Adlai Stevenson et Eleanor Roosevelt en tête.

Vie privée, mariage et descendance

John Kennedy est connu pour ses multiples maîtresses et conquêtes féminines, dont Marilyn Monroe en 1962, ainsi que Judith Campbell Exner, maîtresse simultanément de Kennedy et du parrain de la mafia de Chicago Sam Giancana ou encore Gunilla von Post, Marlene Dietrich9. En 1961, lors d'une rencontre officielle avec le premier ministre britannique Harold Macmillan, il lui confie : « Trois jours sans faire l'amour et c'est le mal de tête garanti. Je ne sais pas si c'est aussi votre cas, Harold »8.
Le 12 septembre 195310, il épouse Jacqueline Bouvier en l'église St Mary à Newport (Rhode Island). Le mariage est considéré comme l'évènement mondain de la saison avec quelques 700 invités à la cérémonie et plus de 1000 à la somptueuse réception qui suit à « Hammersmith Farm », domaine de son beau-père Hugh D. Auchincloss.
Jacqueline Kennedy fait une fausse couche en 195511,12, puis donne naissance à une petite fille mort-née, le 23 août 1956, que ses parents auraient voulu prénommer Arabella13. Cet évènement conduit à une brève séparation du couple qui se réconcilie peu après. Le couple devient ensuite parents d'une fille Caroline en 1957, puis d'un fils John en 1960. Un second fils Patrick nait prématurément le 7 août 1963 et meurt deux jours plus tard.
Peu de temps après l'assassinat de John F. Kennedy, les restes d'Arabella et de son jeune frère Patrick Bouvier Kennedy sont transférés le 5 décembre 1963, au cimetière national d'Arlington. Sa dalle mortuaire n'indique pas de prénom, mais simplement la mention « daughter » (fille, en anglais) et la date du 23 août 1956.
Tombe de Jacqueline Bouvier Kennedy et de sa fille mort-née, au cimetière national d'Arlington.

L'élection présidentielle

Kennedy se déclare candidat pour succéder à Eisenhower le 2 janvier 1960. Dans sa déclaration de candidature, Kennedy insiste sur la nécessité d'un désarmement mondial, qualifiant la course aux armements de « fardeau »[réf. nécessaire].
Le Parti démocrate doit choisir entre lui et les sénateurs Hubert Humphrey, Lyndon B. Johnson et Adlai Stevenson. Kennedy remporte les élections primaires dans certains États clés, comme le Wisconsin et la Virginie-Occidentale et obtient la nomination de son parti à la convention nationale. Son colistier est Lyndon B. Johnson, soutenu par les États du sud. Pendant la campagne électorale, les débats tournent autour du rôle des États-Unis dans le monde, du problème de la pauvreté, de l'économie et de l'équilibre de la terreur face aux missiles porteurs d'armes nucléaires de l'Union soviétique, mais aussi sur la religion catholique pratiquée par le candidat.
En septembre et en octobre 1960, Kennedy et le candidat républicain Richard Nixon débattent pour la première fois à la télévision. Nixon apparaît nerveux, en sueur et mal rasé. De plus, une douleur récurrente au genou le fait souffrir. Par conséquent, on entend dire que face à un Kennedy calme et maître de lui, Nixon « passe » mal à l'écran et ressort affaibli de la confrontation télévisée, alors que les citoyens ayant suivi le débat à la radio estiment que Nixon était légèrement plus convaincant. Cependant, quelques sociologues, dont Michael Schudson et l’équipe de chercheurs de David L. Vancil et Sue D. Pendell, se sont penchés sur la question, déclarant, pour leur part, qu’il n’y a aucun élément pour étayer cette seconde affirmation14. Ces débats restent tout de même considérés comme fondateurs d'une certaine politique moderne puisque, pour la première fois, la manière de se tenir face à une caméra devient un élément important dans une élection.
La politique de Kennedy, appelée « Nouvelle Frontière », prévoit la détente envers l'URSS, l'envoi d'un homme sur la Lune, l'égalité des Noirs et des Blancs, la relance de l'économie, la lutte contre la pègre et l'arrêt de l'expansion communiste dans le monde.
L'élection a lieu le 8 novembre 1960 ; Kennedy bat Nixon de très peu. Des rumeurs circulent par la suite sur le fait que son père, Joe, aurait utilisé ses liens avec la mafia américaine pour que certains comtés décisifs « votent bien ». À 43 ans, Kennedy est le plus jeune président élu : Theodore Roosevelt était plus jeune lors de son accession à la présidence, mais il succédait à William McKinley, décédé en cours de mandat. Il est aussi le premier président des États-Unis de religion catholique et toujours le seul à ce jour.

Présidence

Il entre en fonction le 20 janvier 1961 à l'âge de 43 ans.
Carte des pays que John F. Kennedy a visité durant sa présidence.

Chronologie

1961
Kennedy serre la main de Dwight Eisenhower après sa nomination, le 20 janvier 1961.
  • 20 janvier : entrée en fonction de John F. Kennedy comme 35e président des États-Unis. Son discours est resté dans la mémoire des Américains : « Vous qui, comme moi, êtes Américains, ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays. Vous qui, comme moi, êtes citoyens du monde, ne vous demandez pas ce que les États-Unis peuvent faire pour le monde, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour le monde. ».
  • 2 février : Kennedy propose au Congrès sa politique sociale afin de mettre fin à la récession économique. Elle inclut un programme de tickets-nourriture et un accroissement des allocations pour les chômeurs et les personnes sans ressources.
  • 1er mars : Kennedy signe un décret créant les Corps de la Paix, l’une des institutions les plus marquantes de son gouvernement. Il en confie la direction à son beau-frère Sargent Shriver.
  • 16-18 avril : le gouvernement Kennedy tente d'appliquer un plan initialement préparé par Dwight Eisenhower, pour renverser Fidel Castro, le président cubain communiste. Avec l'aide de la CIA, 1 500 exilés cubains retournent dans l'île et tentent de rallier la population ; c'est un échec qui est connu sous le nom de « l'invasion de la baie des Cochons ». En moins de deux jours, Kennedy refusant tout appui aérien, le gouvernement castriste tue ou fait prisonnier les exilés et Kennedy doit négocier leur libération. Elle sera obtenue après 20 mois au prix de 53 millions USD en nourriture et médicaments. Kennedy, dans un discours, se déclare seul responsable du désastre, mais en privé, il déclare que la CIA lui a menti et l'a manipulé pour qu'il donne l'ordre de l'invasion totale de Cuba. Allen Welsh Dulles, directeur de la CIA, sera limogé et le reste du mandat de Kennedy sera marqué par une certaine méfiance envers la communauté des services de renseignements (CIA)
    La capsule Friendship 7 présentée à Kennedy par John Glenn.
  • 25 mai : Kennedy prononce le fameux discours qui donne le coup d’envoi du programme lunaire américain. « Notre nation doit s’engager à faire atterrir l’homme sur la Lune et à le ramener sur Terre sain et sauf avant la fin de la décennie.»
    Il répond ainsi à l’URSS qui, en pleine guerre froide, avait pris plusieurs longueurs d’avance dans la conquête spatiale. Il conforte le concept de Nouvelle Frontière de l'espace, qu'il avait déjà évoqué dans un discours d'investiture comme candidat à l'élection présidentielle, le 15 juillet 1960.
John F. Kennedy prononce le discours annuel sur l'état de l'Union, en 1963. Assis derrière lui, le vice-président Lyndon Johnson et le président de la Chambre, John McCormack.
  • 13 août : le gouvernement est-allemand, sous le contrôle de l'URSS, débute la construction du Mur de Berlin séparant les secteurs Est et Ouest de la ville afin d'empêcher l'exode de la population vers l'Ouest. Bien que cet acte soit contraire à l'accord entre les quatre grandes puissances, Kennedy ne l'empêche pas, car il est en vacances et ne jugera pas utile d'interrompre son voyage. Il ne fera pas grand chose non plus lors de l'extension de la frontière entre la RDA et la RFA sur 155 km.
  • 3 septembre : Kennedy signe la loi sur le salaire minimum et étend son domaine d’application.
  • 30 septembre : un étudiant noir, James H. Meredith, s’inscrit pour la première fois à l’université d’État du Mississippi ; des manifestants s’opposent à la déségrégation et le ministre de la justice, Robert Kennedy – frère du président – utilise 23 000 agents fédéraux pour contrer les manifestants. Les échauffourées font deux morts parmi les manifestants et 160 blessés parmi les forces de l’ordre.
1962
  • 12 septembre : il prononce son discours We choose to go to the Moon, qui influence de façon majeure la politique spatiale américaine.
  • 14 octobre : des avions espions américains U2 photographient des sites de missiles soviétiques en construction à Cuba. Kennedy est confronté à un dilemme : soit il attaque les sites en risquant une confrontation nucléaire avec l'URSS, soit il ne fait rien et les États-Unis doivent vivre sous la menace d'armes nucléaires tactiques près d'eux. Kennedy décide un blocus de l'île et entame des négociations avec le président du Conseil des ministres soviétique Nikita Khrouchtchev. Un accord sera trouvé après plusieurs semaines de négociations diplomatiques, les États-Unis s'engageant à ne pas envahir Cuba mais refusent publiquement les demandes de la part de l'U.R.S.S. de retirer leurs missiles implantés en Turquie. Ces demandes lui seront cependant accordées secrètement en avril 1963 par Robert Kennedy[réf. nécessaire].
1963
  • 11 juin : Kennedy prononce un discours sur les droits civiques : « Nous sommes, à la fois en tant que pays et en tant que peuple, face à une crise des valeurs morales »[réf. nécessaire].
  • 26 juin : Kennedy visite Berlin Ouest et prononce avec Willy Brandt et Konrad Adenauer un discours resté célèbre durant lequel il lancera la phrase (de) « Ich bin ein Berliner » (« Je suis un Berlinois »)15.
  • 28 août : Kennedy rencontre Martin Luther King Jr[réf. nécessaire] et les autres dirigeants du mouvement pour les droits civiques après une manifestation, qui rassemble plus de 250 000 Américains, devant le mémorial au président Lincoln.
  • 30 août : Nouvel accord Kennedy-Khrouchtchev : mise en place d'un téléphone rouge entre la Maison-Blanche et le Kremlin.
  • Octobre : Kennedy envisage un désengagement des conseillers militaires américains au Viêt Nam et un accroissement de l’aide pour l’entraînement des forces sud-vietnamiennes16.
  • 7 octobre : Kennedy signe le Traité d’interdiction des essais nucléaires, élaboré à Moscou le 5 août 1963, le premier permettant d’envisager un désarmement.
Kennedy signe le traité d’interdiction des essais nucléaires, le 7 octobre 1963.
  • 21 novembre : Il prépare sa politique de « lutte contre la pauvreté » pour son programme d’action à mettre en œuvre en 1964[réf. nécessaire].
  • 22 novembre : Il entame la campagne pour sa réélection par un voyage au Texas. L'avion présidentiel Air Force One atterrit sur l'aéroport de Dallas Love Field, où Kennedy et son épouse sont accueillis chaleureusement. À 12 heures 30, alors que le cortège présidentiel se dirige vers Dealey Plaza, plusieurs coups de feu sont tirés, le gouverneur John Connally est touché, Kennedy est atteint en pleine tête. Il décédera peu de temps après à l'hôpital Parkland. Son assassinat reste à ce jour, pour beaucoup, non résolu, alimentant les rumeurs et les hypothèses les plus folles. Le 27 septembre 1964, la commission d’enquête désignée par Lyndon Johnson, connue sous le nom de Commission Warren, conclut que l’assassin présumé de Kennedy, Lee Oswald, a agi seul.
  • 25 novembre : le président est enterré au cimetière militaire d'Arlington.

Politique étrangère

Rencontre de Kennedy et Khrouchtchev à Vienne, en 1961.
Le mandat de Kennedy est marqué par la guerre froide entre l’Union soviétique et les États-Unis et les crises majeures destinées à contrer l’expansion communiste. Au début de sa présidence, il pense que le monde peut s'améliorer par des moyens pacifiques et il crée les régiments de la paix. Ce programme, qui existe toujours, permet à des volontaires américains d'aider les pays sous-développés dans les domaines de l'éducation, de l'agriculture, de la santé et du bâtiment.
Kennedy développa des liens d'amitié étroits avec le Royaume-Uni et la RFA. Cependant, les relations avec le Canada seront faibles, John Diefenbaker ne supportant pas Kennedy et réciproquement. Le prochain premier ministre canadien Pearson s'entendra très bien avec lui et accepte l'installation de bases nucléaires américaines au Canada.
Les relations avec la France de Charles de Gaulle sont constantes mais tendues, mais les deux dirigeants ont un grand respect l'un pour l'autre et le peuple français a une certaine admiration pour les Kennedy ; ils sont notamment fiers que sa femme, Jacqueline Bouvier de son nom de jeune fille, ait des racines françaises[réf. nécessaire]. La volonté de Charles de Gaulle d’accroître la puissance militaire et économique de la France produit de vives tensions entre les deux hommes : d'après Ted Sorensen, dans un moment de colère Kennedy aurait traité De Gaulle de « salopard »[réf. nécessaire].
La Crise des missiles de Cuba montre que le risque d'une guerre nucléaire n’est pas négligeable et que les États-Unis et l'URSS sont « au bord du gouffre », d’où une attitude plus mesurée en Europe. Cette attitude est d'ailleurs déjà effective avant cette crise, comme le prouve le fait que les Américains restent passifs lorsque l’Allemagne de l’Est lancera la construction du mur de Berlin dans la nuit du 12 au 13 août 1961 et que les pays du bloc de l’Est rendront leurs frontières quasiment étanches. Après une tentative de retrait, Kennedy essayera malgré tout de contenir l'expansion soviétique en envoyant des conseillers militaires, puis des troupes, au Viêt Nam. En octobre 1963, Kennedy signa un mémorandum ordonnant le retrait de 1 000 soldats du Viêt Nam avant la fin de 1963 car il pensait la guerre bientôt gagnée17. Ce mémorandum sera annulé par Lyndon B. Johnson.
Kennedy signe un traité d'interdiction des essais nucléaires dans l'atmosphère pour lutter contre la prolifération des armements et contre les effets à long terme des retombées radioactives. Les États-Unis, le Royaume-Uni et l'URSS en seront les premiers signataires et Kennedy considérera que c'est une des actions majeures de son gouvernement.

Politique intérieure

Rencontre avec les leaders des droits civiques en 1963.
Kennedy milite contre la ségrégation raciale, en prenant pour modèle Abraham Lincoln. Il soutient Martin Luther King, et le rencontre lors de sa marche sur Washington en 1963.
L'un des problèmes les plus importants auquel Kennedy doit faire face est celui de mettre fin aux mesures discriminatoires contre les minorités ethniques qui restent légales dans certains États. Un arrêt de 1954 de la Cour suprême des États-Unis interdit la ségrégation dans les écoles publiques, mais est resté lettre morte dans de nombreux États du sud. Par ailleurs, des mesures discriminatoires restent toujours en vigueur dans d'autres lieux publics, tels que les transports urbains, les cinémas et les restaurants.
Il fait beaucoup pour la conquête de l'espace, en lançant le programme Apollo (We choose to go to the moon).
Sur le plan social, son programme Nouvelle Frontière vise à améliorer le sort des classes modestes et des droits civiques de ses concitoyens noirs. Sur ces objectifs, Kennedy se heurte souvent, ce qui est courant aux États-Unis, à un Congrès dont la majorité n'est pas celle de son courant politique. Ici, cependant, le Congrès est en majorité démocrate, mais cette dernière est dominée par les démocrates du sud, conservateurs sudistes hostiles à la disparition de la ségrégation.

Assassinat

Article détaillé : Assassinat de John F. Kennedy.
Pierre tombale de JFK, au cimetière d'Arlington.
Le 22 novembre 1963, lors d'une visite pré-électorale de John F. Kennedy à Dallas, le cortège présidentiel traverse la ville à petite vitesse, salué par la foule amassée. Alors que la limousine décapotée du président passe sur Dealey Plaza, des coups de feu éclatent. Le président est d'abord blessé au cou, tandis que le gouverneur Connally, assis devant lui, est blessé à la poitrine, puis une balle atteint le président à la tête et ressort par la tempe droite. Aussitôt transporté au Parkland Hospital, le président est déclaré mort après une demi-heure de vains efforts de réanimation. Le monde est consterné en apprenant la nouvelle.
Selon les enquêtes officielles, Lee Harvey Oswald a assassiné le président, quoique la seconde enquête (celle du HSCA) ait estimé qu'il y avait eu conspiration. Selon certains témoignages, Mac Wallace serait l'un des assassins de John F. Kennedy qui l'a avoué à certaines personnes.
La garde d'honneur se prépare à plier le drapeau au-dessus cercueil de John F. Kennedy, au cimetière national d'Arlington, le 25 novembre 1963.
Le président Kennedy repose au cimetière national d'Arlington, près de Washington.

Anecdotes

  • 19 mai 1962 : Marilyn Monroe chante Happy Birthday (en) pour célébrer le 45e anniversaire du président au Madison Square Garden, dix jours avant sa date exacte. Cette séquence enregistrée par la télévision fait partie des grands moments de la petite histoire et alimente les potins sur la liaison entre elle et Kennedy.
  • Lors du voyage officiel du président accompagné de son épouse à Paris, en juin 1961, le succès de Jackie est tel que le président s'est présenté de la façon suivante lors d'une réception : « Je suis l'homme qui accompagne Jacqueline Kennedy à Paris ».
  • Il a été affirmé que lors d'un discours tenu à Berlin Ouest, le président Kennedy a prononcé sa célèbre phrase : (de) « Ich bin ein Berliner », des rires se mêlèrent aux cris d'approbation parce que ein Berliner désigne une boule de Berlin en allemand. Il s'agit d'une légende urbaine : cette déclaration a recueilli une ovation dans laquelle aucun rire ne se distingue et, de toute façon, si un Berliner peut effectivement désigner un beignet, il s'agit d'un terme utilisé uniquement hors de Berlin.
  • Un mythe médiatique voit en Kennedy un second roi Arthur, les thèmes abordés dans le pièce Camelot jouée à Broadway en 1960 reflètent les idéaux de Kennedy pour l'Amérique. On prétend qu'il ne serait pas mort, mais tombé dans le coma et emmené en bateau par sa femme sur une île secrète où il aurait été soigné et dont il ne serait jamais parti, "son" Avalon.
  • Kennedy était un grand joueur d'échecs et admirateur de Mozart.
  • Quant à Barack Obama, il est parfois comparé à Kennedy en raison de son caractère de nouveauté et de jeunesse, de sa différence par rapport à la majorité de la population (Kennedy était catholique et Obama est le premier président noir de l'histoire des États-Unis) et surtout par rapport à son charisme et à sa « télégénie ».
  • John Kennedy est resté durant son mandat, un président très populaire. Pour preuve, pendant toute la durée de son mandat, il n'a jamais connu de sondages inférieurs à 50 % d'opinions favorables. Il est d'ailleurs le seul à ce jour18.

Hommages

Visage de Kennedy sur un timbre de 1964.
   

Carte de présence du corps de la paix

Carte de présence du Corps de la Paix avec en violet les pays où il a été présent et en orange où il est actuellement présent
Description Legend:
  • Orange - Countries in which the Peace Corps currently works.
  • Purple - Countries in which the Peace Corps previously worked.
Date 2007-07-22. July 22 2007.
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Author Valio_0
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CC-BY-SA 2.5. See below.
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Bibliographie

Stanley Meisler, When the World calls. The inside Story of the Peace Corps and its first Fifty Years, Boston, Beacon Press, 2011.

Missions

Les volontaires du Corps travaillent de concert avec des gouvernements, des écoles, et des entrepreneurs sur des sujets comme l'éducation, la santé, le VIH/SIDA, les affaires, la technologie de l'information, l'agriculture et l'écologie. Ils servent habituellement pendant des périodes de 27 mois.
Officiellement, le programme a trois buts :

  1. Aider les personnes des pays intéressés et des secteurs en satisfaisant leurs besoins d'ouvriers qualifiés ;
  2. Aider à favoriser une meilleure connaissance de la culture américaine par les habitants des pays desservis par l'agence ;
  3. Aider à favoriser une meilleure connaissance de la culture de ces habitants par le peuple américain.
Les volontaires du Corps travaillant à l'étranger doivent d'abord annoncer leur disponibilité aux gouvernements étrangers. Ces gouvernements déterminent alors les secteurs dans lesquels l'organisation peut être impliquée. Puis l'organisation assortit les tâches demandées à son groupe de demandeurs et envoie ces volontaires avec les qualifications appropriées aux pays qui ont fait la première fois les demandes. Actuellement, les Corps travaillent dans plus de 70 pays.                                       







               
Bonjour ou bonsoir celons le temps qui feras quand vous consulterai ce blog...
je me nomme Williams les amis m'appellent Will La Fleur,je suis artiste décorateur d'intérieur et promoteur...Ce qui est sure certains parmi vous me connaissent,je suis fils de Assogba Lucienne Zoé qui nais plus...A ce titre j'ai créer ce blog,qui a été l'un des rêve de ma défunte mère...Comme vous le voyez,ce blog parlera essentiellement des argent et des volontaires de Peace Corps Bénin ,qui ne cesse de parfaire leurs travailles chaque jours...Ils pourront envoyés des photos d'eux,de leu travaille et aussi des messages qu'ils voudront faire passé à l'adresse palacedesstars@yahoo.fr           fillingsexy@gmail.com         ou au (+00229) 67324555,qui sera publié dans les 24heure...
                   L’idée première,est d'avoir une bibliothèque de documentation de Peace Corps Bénin via le NET...Plusieurs réseau sociaux sont reliés à ce blog,comme un Faceboock sécurisé qui est en plein montage,création d'un cercle d'amis sur Google,un compte Tweeter et bientôt  ce blog sera connecté avec le réseau France 24...Pour un suivis permannant,je pris toutes personne de bonne volonté à doter de mon réseau un ordinateur portative et si possible des équipement de bureaux,pour les recherches et l’amélioration de ce blog et du réseau que je dirige BDP(Blog De Publicité)...
                   Sur ce blog de Peace Corps Bénin,vous pouvez trouvés des rubrique chaque semaine sur la santés(Seul La Maladie Est L'ennemi De L'homme...)Plus de 500 maladies guéris par:L'eau






le miel


l'orgnon



la noix de coco



le citron



la papaye



l'ail



et le chou






Des rubriques sur la cuisine(Saveur Du Bénin Et De La Sous Région)

Désormais grasse à ce blog de Peace Corps Bénin,Cuisinés chaque jours comme de véritable chef...



                                                               Merci d’avoirs pris toutes votre temps,votre attention et toutes votre patience,pour faire la visite de votre BLOG......www.peacecorpsbenin.blogspot.com